Que ce soit dans une librairie physique ou dans les boutiques en ligne, il est difficile de passer devant un livre sans considérer sa couverture. C’est la première chose que les lecteurs remarquent. Le premier point de contact entre l’auteur et le lecteur. C’est un peu comme rencontrer quelqu’un pour la première fois, vous obtenez une première impression (agréable je l’espère) et vous avez juste envie de faire plus ample connaissance.
De nos jours, de nombreuses personnes parcourent les librairies en ligne pour trouver de nouvelles lectures, il est donc plus important que jamais de rendre mes couvertures bien visibles. Pour ce faire, je fais appel aux services d’une illustratrice. dont le style correspond parfaitement à mes attentes. Je lui donne un maximum de détails sur l’illustration que j’aimerai avoir. Les jours suivants, avant que le dessin final ne soit livré et accepté, elle m’envoie par mail quelques croquis, et ensemble nous décidons des couleurs, de l’ambiance etc…À partir de là, la commande est fixée et le processus d’illustration devient pour moi plus excitant que jamais. J’attends avec impatience le résultat.
La couverture est un élément crucial, en particulier pour un auteur auto-édité qui assume tout le fardeau du marketing. Elle est la carte d’identité de mes romans, j’y attache une très grande importance. Les illustrations de mes romans Les mort ne pleurent pas et Les chroniques de Wilson Grant intriguent beaucoup. L’objectif est d’éveiller la curiosité des lecteurs à consulter mon roman, ou au moins lire un extrait en ligne. Mes couvertures fournissent suffisamment d’informations pour captiver sans donner trop de détails. Elles parlent du genre littéraire, sans même le mentionner.
Les avantages de l’autoédition sont nombreux, mais un que j’apprécie parmi d’autres : la totale liberté de faire ce que je veux ! Je suis libre de choisir le graphiste qui répondra à mes besoins. Et personne n’interfèrera dans mon existence pour m’imposer des contraintes fondées sur des études de marché et autres. A savoir, que certaines grandes maisons d’édition (je dis bien certaines), laissent aux auteurs peu de contrôle sur le choix de la couverture.
Il y a un proverbe chinois qui dit « Où il y a un avantage, il y a nécessairement un inconvénient. »
Ce n’est pas faux ! Mais le seul inconvénient que je connaisse, est que si ma couverture ne plaît pas…je porterai seule tout le poids des critiques.
Hélas, il n’y a pas de recette miracle pour une couverture parfaite. Mais il y a un facteur important à garder à l’esprit : La couverture doit correspondre à l’ambiance du livre.
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